Vik Muniz – After Warhol

Vik Muniz

After Warhol

20.12.99 19.01.00

Xippas Paris Past
Vik Muniz, “After Warhol”, 1999

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Les œuvres de Vik Muniz pourraient être définies comme étant les photographies d’une performance. Empruntant les images de l’histoire de l’art, des médias et du réel en général, Vik Muniz devient successivement sculpteur, peintre et photographe. Et pourtant il n’y a que des photographies à voir. Prises ici comme trace du geste de l’artiste et non pas seulement comme outil, elles témoignent d’un questionnement sur le réel et sa représentation, sur l’identité culturelle et sociale de l’artiste en tant que créateur, un va-et-vient entre image et spectateur. Il s’agit ici de faire appel à la mémoire commune. Le processus donne du sens à l’oeuvre et non le résultat.
Dans une première série de photographies, The Best of Life, réalisée entre 1988 et 1990, Vik Muniz emprunte les images des médias -Life magazine- et les re-dessine de mémoire. Par la technique utilisée – photographies de dessins au crayon – ces images en apparence floues deviennent la re-présentation d’images ancrées dans notre mémoire. Le matériau est toujours inattendu: nuages en coton, peintures du XIXème siècle en fil à coudre, portraits en sucre, etc. Dans un style qui se veut humoristique, Vik Muniz développe l’idée selon laquelle les choses sont rarement ce qu’elles semblent être, mais illusion; l’essentiel de ce que nous savons nous le savons par le biais de la représentation. Ceci n’est pas un nuage mais du coton, ceci n’est pas un Rodin mais du chocolat.

Pour sa première exposition personnelle à la Galerie Xippas, Vik Muniz poursuit son travail photographique sur la série des dessins au chocolat ou autres saveurs. Il s’agit ici d’une série inédite: les images fétiches de Andy Warhol servant au support de la re-production. Pourtant il n’est pas simplement question de reprendre les versions célèbres du visage de Marilyn, Liz Taylor, Marlon Brando, Mao, Elvis ou Mona Lisa, mais de se ré-approprier le concept de multiplication et de déclinaison qui ont rendu Warhol célèbre; Warhol fétichisant l’image et l’objet, jouant avec les médias et la notion de star système.
Dans une première série de quatre photographies, Vik Muniz re-prend l’image de Liz Taylor et la décline à partir de quatre matériaux, goûts, saveurs, couleurs différents.
Parallèlement dans une seconde série, l’artiste nous livre le processus de réalisation et de disparition d’une oeuvre, photographiant les différentes étapes de son élaboration. D’une simple tache de chocolat qu’il travaille de ses doigts, Vik Muniz fait apparaître une image. Toutefois les qualités du matériau utilisé n’autorisent pas la conservation du dessin, “l’image éphémère” disparaît. Les photographies sont ici le témoin du plaisir de la création et du travail de la peinture, preuve de l’existence et de la maîtrise du geste de l’artiste. Elles mettent en avant, d’une manière encore plus vive, l’idée selon laquelle “ceci est aussi du chocolat” et non pas simplement la reproduction d’un personnage célèbre au travers d’une oeuvre célèbre.

Vik Muniz est né en 1961 à Sao Paulo, Brésil. Il émigre aux Etats Unis en 1983 et s’installe à New York où il vit et travaille aujourd’hui. Son travail a été présenté à l’occasion de deux expositions importantes aux Etats Unis: The Museum as Muse: Artist Reflect, The Museum of Modern Art, New York,1999 et Seeing is Believing (catalogue), International Center of Photography, New York,1998. L’ensemble de son oeuvre sera présentée à travers trois expositions parallèles au Centre National de la Photographie, à la Caisse des dépôts et consignations et à la Galerie Xippas. Ces expositions feront l’objet de l’édition commune d’un catalogue.Les œuvres de Vik Muniz pourraient être définies comme étant les photographies d’une performance. Empruntant les images de l’histoire de l’art, des médias et du réel en général, Vik Muniz devient successivement sculpteur, peintre et photographe. Et pourtant il n’y a que des photographies à voir. Prises ici comme trace du geste de l’artiste et non pas seulement comme outil, elles témoignent d’un questionnement sur le réel et sa représentation, sur l’identité culturelle et sociale de l’artiste en tant que créateur, un va-et-vient entre image et spectateur. Il s’agit ici de faire appel à la mémoire commune. Le processus donne du sens à l’oeuvre et non le résultat.
Dans une première série de photographies, The Best of Life, réalisée entre 1988 et 1990, Vik Muniz emprunte les images des médias -Life magazine- et les re-dessine de mémoire. Par la technique utilisée – photographies de dessins au crayon – ces images en apparence floues deviennent la re-présentation d’images ancrées dans notre mémoire. Le matériau est toujours inattendu: nuages en coton, peintures du XIXème siècle en fil à coudre, portraits en sucre, etc. Dans un style qui se veut humoristique, Vik Muniz développe l’idée selon laquelle les choses sont rarement ce qu’elles semblent être, mais illusion; l’essentiel de ce que nous savons nous le savons par le biais de la représentation. Ceci n’est pas un nuage mais du coton, ceci n’est pas un Rodin mais du chocolat.

Pour sa première exposition personnelle à la Galerie Xippas, Vik Muniz poursuit son travail photographique sur la série des dessins au chocolat ou autres saveurs. Il s’agit ici d’une série inédite: les images fétiches de Andy Warhol servant au support de la re-production. Pourtant il n’est pas simplement question de reprendre les versions célèbres du visage de Marilyn, Liz Taylor, Marlon Brando, Mao, Elvis ou Mona Lisa, mais de se ré-approprier le concept de multiplication et de déclinaison qui ont rendu Warhol célèbre; Warhol fétichisant l’image et l’objet, jouant avec les médias et la notion de star système.
Dans une première série de quatre photographies, Vik Muniz re-prend l’image de Liz Taylor et la décline à partir de quatre matériaux, goûts, saveurs, couleurs différents.
Parallèlement dans une seconde série, l’artiste nous livre le processus de réalisation et de disparition d’une oeuvre, photographiant les différentes étapes de son élaboration. D’une simple tache de chocolat qu’il travaille de ses doigts, Vik Muniz fait apparaître une image. Toutefois les qualités du matériau utilisé n’autorisent pas la conservation du dessin, “l’image éphémère” disparaît. Les photographies sont ici le témoin du plaisir de la création et du travail de la peinture, preuve de l’existence et de la maîtrise du geste de l’artiste. Elles mettent en avant, d’une manière encore plus vive, l’idée selon laquelle “ceci est aussi du chocolat” et non pas simplement la reproduction d’un personnage célèbre au travers d’une oeuvre célèbre.

Vik Muniz est né en 1961 à Sao Paulo, Brésil. Il émigre aux Etats Unis en 1983 et s’installe à New York où il vit et travaille aujourd’hui. Son travail a été présenté à l’occasion de deux expositions importantes aux Etats Unis: The Museum as Muse: Artist Reflect, The Museum of Modern Art, New York,1999 et Seeing is Believing (catalogue), International Center of Photography, New York,1998. L’ensemble de son oeuvre sera présentée à travers trois expositions parallèles au Centre National de la Photographie, à la Caisse des dépôts et consignations et à la Galerie Xippas. Ces expositions feront l’objet de l’édition commune d’un catalogue.Les œuvres de Vik Muniz pourraient être définies comme étant les photographies d’une performance. Empruntant les images de l’histoire de l’art, des médias et du réel en général, Vik Muniz devient successivement sculpteur, peintre et photographe. Et pourtant il n’y a que des photographies à voir. Prises ici comme trace du geste de l’artiste et non pas seulement comme outil, elles témoignent d’un questionnement sur le réel et sa représentation, sur l’identité culturelle et sociale de l’artiste en tant que créateur, un va-et-vient entre image et spectateur. Il s’agit ici de faire appel à la mémoire commune. Le processus donne du sens à l’oeuvre et non le résultat.
Dans une première série de photographies, The Best of Life, réalisée entre 1988 et 1990, Vik Muniz emprunte les images des médias -Life magazine- et les re-dessine de mémoire. Par la technique utilisée – photographies de dessins au crayon – ces images en apparence floues deviennent la re-présentation d’images ancrées dans notre mémoire. Le matériau est toujours inattendu: nuages en coton, peintures du XIXème siècle en fil à coudre, portraits en sucre, etc. Dans un style qui se veut humoristique, Vik Muniz développe l’idée selon laquelle les choses sont rarement ce qu’elles semblent être, mais illusion; l’essentiel de ce que nous savons nous le savons par le biais de la représentation. Ceci n’est pas un nuage mais du coton, ceci n’est pas un Rodin mais du chocolat.

Pour sa première exposition personnelle à la Galerie Xippas, Vik Muniz poursuit son travail photographique sur la série des dessins au chocolat ou autres saveurs. Il s’agit ici d’une série inédite: les images fétiches de Andy Warhol servant au support de la re-production. Pourtant il n’est pas simplement question de reprendre les versions célèbres du visage de Marilyn, Liz Taylor, Marlon Brando, Mao, Elvis ou Mona Lisa, mais de se ré-approprier le concept de multiplication et de déclinaison qui ont rendu Warhol célèbre; Warhol fétichisant l’image et l’objet, jouant avec les médias et la notion de star système.
Dans une première série de quatre photographies, Vik Muniz re-prend l’image de Liz Taylor et la décline à partir de quatre matériaux, goûts, saveurs, couleurs différents.
Parallèlement dans une seconde série, l’artiste nous livre le processus de réalisation et de disparition d’une oeuvre, photographiant les différentes étapes de son élaboration. D’une simple tache de chocolat qu’il travaille de ses doigts, Vik Muniz fait apparaître une image. Toutefois les qualités du matériau utilisé n’autorisent pas la conservation du dessin, “l’image éphémère” disparaît. Les photographies sont ici le témoin du plaisir de la création et du travail de la peinture, preuve de l’existence et de la maîtrise du geste de l’artiste. Elles mettent en avant, d’une manière encore plus vive, l’idée selon laquelle “ceci est aussi du chocolat” et non pas simplement la reproduction d’un personnage célèbre au travers d’une oeuvre célèbre.

Vik Muniz est né en 1961 à Sao Paulo, Brésil. Il émigre aux Etats Unis en 1983 et s’installe à New York où il vit et travaille aujourd’hui. Son travail a été présenté à l’occasion de deux expositions importantes aux Etats Unis: The Museum as Muse: Artist Reflect, The Museum of Modern Art, New York,1999 et Seeing is Believing (catalogue), International Center of Photography, New York,1998. L’ensemble de son oeuvre sera présentée à travers trois expositions parallèles au Centre National de la Photographie, à la Caisse des dépôts et consignations et à la Galerie Xippas. Ces expositions feront l’objet de l’édition commune d’un catalogue.Les œuvres de Vik Muniz pourraient être définies comme étant les photographies d’une performance. Empruntant les images de l’histoire de l’art, des médias et du réel en général, Vik Muniz devient successivement sculpteur, peintre et photographe. Et pourtant il n’y a que des photographies à voir. Prises ici comme trace du geste de l’artiste et non pas seulement comme outil, elles témoignent d’un questionnement sur le réel et sa représentation, sur l’identité culturelle et sociale de l’artiste en tant que créateur, un va-et-vient entre image et spectateur. Il s’agit ici de faire appel à la mémoire commune. Le processus donne du sens à l’oeuvre et non le résultat.
Dans une première série de photographies, The Best of Life, réalisée entre 1988 et 1990, Vik Muniz emprunte les images des médias -Life magazine- et les re-dessine de mémoire. Par la technique utilisée – photographies de dessins au crayon – ces images en apparence floues deviennent la re-présentation d’images ancrées dans notre mémoire. Le matériau est toujours inattendu: nuages en coton, peintures du XIXème siècle en fil à coudre, portraits en sucre, etc. Dans un style qui se veut humoristique, Vik Muniz développe l’idée selon laquelle les choses sont rarement ce qu’elles semblent être, mais illusion; l’essentiel de ce que nous savons nous le savons par le biais de la représentation. Ceci n’est pas un nuage mais du coton, ceci n’est pas un Rodin mais du chocolat.

Pour sa première exposition personnelle à la Galerie Xippas, Vik Muniz poursuit son travail photographique sur la série des dessins au chocolat ou autres saveurs. Il s’agit ici d’une série inédite: les images fétiches de Andy Warhol servant au support de la re-production. Pourtant il n’est pas simplement question de reprendre les versions célèbres du visage de Marilyn, Liz Taylor, Marlon Brando, Mao, Elvis ou Mona Lisa, mais de se ré-approprier le concept de multiplication et de déclinaison qui ont rendu Warhol célèbre; Warhol fétichisant l’image et l’objet, jouant avec les médias et la notion de star système.
Dans une première série de quatre photographies, Vik Muniz re-prend l’image de Liz Taylor et la décline à partir de quatre matériaux, goûts, saveurs, couleurs différents.
Parallèlement dans une seconde série, l’artiste nous livre le processus de réalisation et de disparition d’une oeuvre, photographiant les différentes étapes de son élaboration. D’une simple tache de chocolat qu’il travaille de ses doigts, Vik Muniz fait apparaître une image. Toutefois les qualités du matériau utilisé n’autorisent pas la conservation du dessin, “l’image éphémère” disparaît. Les photographies sont ici le témoin du plaisir de la création et du travail de la peinture, preuve de l’existence et de la maîtrise du geste de l’artiste. Elles mettent en avant, d’une manière encore plus vive, l’idée selon laquelle “ceci est aussi du chocolat” et non pas simplement la reproduction d’un personnage célèbre au travers d’une oeuvre célèbre.

Vik Muniz est né en 1961 à Sao Paulo, Brésil. Il émigre aux Etats Unis en 1983 et s’installe à New York où il vit et travaille aujourd’hui. Son travail a été présenté à l’occasion de deux expositions importantes aux Etats Unis: The Museum as Muse: Artist Reflect, The Museum of Modern Art, New York,1999 et Seeing is Believing (catalogue), International Center of Photography, New York,1998. L’ensemble de son oeuvre sera présentée à travers trois expositions parallèles au Centre National de la Photographie, à la Caisse des dépôts et consignations et à la Galerie Xippas. Ces expositions feront l’objet de l’édition commune d’un catalogue.

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